ADEB - CERFORDes militants d'ADEB (Aide au Développement par l'Education au Burkina Faso) ont participé pendant presque 10 ans au sein d'une association à la construction d'écoles en brousse au Burkina Faso. Ces longues années, ont permis d'imprimer les premières pages de cette histoire. Et c'est tout naturellement que l'association ADEB a été constituée en 20052022-04-28T10:53:46+02:00Association d'Aide au Développement par l'Education au Burkina Fasourn:md5:f1201a482df557f93c1b190ee71e04daDotclearOrly 4 Avril 2009, .......embarquement pour Ouagadougou au Burkina Faso ...........urn:md5:d6e8c342847fbad74837d96b393b0d832009-06-14T18:29:00+01:002016-04-27T08:14:22+01:00Michel MendiboureCERFORCahntier de solidarité internationaleDéveloppement durableEnvironnementOuagadougou<p>Pendant 15 jours le groupe des 16 jeunes (10 filles et 6 garçons) du CLV Rhône Alpes* vont concrétiser sur place leur implication dans la préparation depuis septembre 2008, de leur projet de participer à un "Chantier de Solidarité Internationale - Environnement - Développement Durable".</p> <p><img src="http://www.adeb-asso.fr/public/logo.png" alt="logo.png" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="logo.png, avr. 2016" />
Sous l'implusion de la Directrice Annick Martin et des deux autres animateurs, le groupe s'est réparti sur le terrain du CERFOR avec les jeunes burkinabé du village et les ouvriers du chantier.</p>
<p>Tous les matins, réveil avant 6h avec le soleil...et la chaleur va monter à plus de 40° dans la journée.</p>
<p>Toutefois, plusieurs actions se sont déroulées en même temps:</p>
<p>- Participation à la construction du bâtiment de la ferme d'élevage des "Aulacodes"( c'est le deuxième objectif lancé par l'association ASSODEC pour permettre la formation des enseignants et villageois et également participer à l'autogestion financière du CERFOR ).</p>
<p>- Participation à la réalisation, avec l'équipe des maçons burkinabé, du plancher haut en béton des trois salles de classe du bâtiment du CERFOR, destiné à recevoir ultérieurement les murs du 1er étage.</p>
<p>- Construction d'un hangar extérieur, structure bois et habillage en séko (natte tissée en fibres naturelles) pour la tenue de réunions à l'extérieur et stockage, en toiture, du fourrage nécessaire pour l'alimentation des Aulacodes.</p>
<p>- Réalisation de deux bassins en béton pour la pompe d'eau potable du CERFOR. Le premier pour recevoir les récipients et bidons d'eau des habitants et utilisateurs de la pompe, le deuxième servira d'abreuvoir pour les animaux, en récupérant le surplus d'eau tiré.
Les abords de la pompe ont été nettoyés et égalisés par un apport de graviers.</p>
<p>- Participation à la réalisation de la fosse septique des latrines du CERFOR.</p>
<p>- Equipement sur le toit de l'école du village de Bazoulé, d'un système de récupération et de stockage d'eau de pluie pour permettre la création d'un jardin approvisionnant la cantine scolaire. (fabrication d'une gouttière et descentes d'eau en tôle, mise en place de citernes représentant un stockage d'environ 4 000 litres...)</p>
<p>A la fin de la première semaine, 4 jours ont été réservés pour découvrir une région du Burkina Faso.
Direction le nord, "Le Sahel"......Bani, Dori, Gorom-Gorom, Oursi, Gandefabou..découverte et partage de la vie avec les "Peuls" et "Touaregs".</p>
<p>Déplacements en 4x4 et dromadaires...couchage à la belle étoile...ou dans les tentes locales.</p>
<p>- Rencontres et échanges dans les écoles de brousse...
- Visites de dispensaires...
- Moment d'émotion à l'orphelinat de Gorom-Gorom...!</p>
<p>Retour au CERFOR pour finaliser, pendant la deuxième semaine, les travaux entrepris.</p>
<p>- Un essai d'arrosage "goutte à goutte" pour les jeunes arbres de l'école a été programmé...mais, malgré la tarière utilisée le sol est trop dur pour poser les drains PVC. Il faudra attendre la saison humide pour prolonger l'expérience.</p>
<p>Ne comptabilisons pas le nombre de brouettes de béton, de sable et de parpaings transportés et déplacés, parfois lourdement sur des orteils "féminin" qui en gardent encore un douloureux souvenir...!</p>
<p>La dernière journée fut consacrée à la fête avec les villageois.
Musique, jeux, danses, chants et un magnifique repas burkinabé furent partagés.</p>
<p>Dimanche 19 avril...direction la France...!</p>
<p>......Mixer au sein d'un projet d'envergure, jeunes en difficultés (en rupture scolaire) et jeunes au parcours "sans histoire", pour vivre un véritable échange avec d'autres jeunes en s'adaptant et partageant leur vie quotidienne; c'est prendre conscience de la réalité d'un pays et aussi de ses propres capacités à réagir et à agir.....!</p>
<p>(*Association "Culture Loisirs Vacances")</p>Nouvelles du CERFORurn:md5:e67df44e5f25df6a6698c44ae704071e2009-06-06T18:37:00+01:002016-04-27T08:14:34+01:00Michel MendiboureCERFORASSODECCERFORTanghin-Dassouri<p>C’est en fonction des rentrées financières de l’association ASSODEC que la construction du premier bâtiment du CERFOR, situé sur la commune de Tanghin-Dassouri au Burkina Faso se poursuit.</p> <p><img src="http://www.adeb-asso.fr/public/logo.png" alt="logo.png" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="logo.png, avr. 2016" />
Depuis la pose de la 1ère pierre le 18 janvier 2008, le rez-de-chaussée de la partie du bâtiment comprenant trois salles de classe est pratiquement terminé, chaînage haut, poutrelles et hourdis sont exécutés, les poutres porteuses sont mises en place, la dalle de compression du plancher haut est coulée et pourra recevoir ultérieurement le 1er étage.</p>
<p>A la suite des entretiens avec le Maître d’œuvre, ASSODEC a décidé de modifier les dimensions initiales de ce premier bâtiment,en augmentant la surface de chaque salle et ateliers.</p>
<p>C'est un bâtiment de 58m de longueur et 10m de largeur qui offrira au rez-de-chaussée :</p>
<p>- Trois classes d'une surface de 100m2 chacune.
- Un dégagement de 50m2 destiné à recevoir l’escalier d’accès au premier étage, pour séparer les salles de classe des trois ateliers représentant chacun 70m2 de surface.</p>
<p>Le mois de novembre 2008 a été très marqué par le manque d’eau, occasionnant des arrêts intempestifs de l’activité du chantier. Mais, la remise en état de la pompe a permis la reprise des travaux.</p>
<p>La présence d'un "chantier jeunes" pendant 15 jours en avril 2009, a permis le démarrage du deuxième objectif d'ASSODEC sur le terrain du CERFOR......</p>Une ferme d'élevage d'Aulacodesurn:md5:600a10d549421c7ee3d493d8f01fc8ef2009-06-06T00:00:00+01:002016-04-27T08:14:46+01:00Michel MendiboureCERFORAFRIFAUNEAssociation Culture Loisirs VacancesASSODECAulacodesCERFOR<p>Deux semaines au Burkina Faso pour échanger avec notre partenaire ASSODEC et préparer un nouveau projet</p>
<p>Fin janvier....début février 2009, saison sèche et fraîche, période idéale pour profiter du Burkina Faso avant les rayons du soleil de la saison chaude....</p> <p><img src="http://www.adeb-asso.fr/public/logo.png" alt="logo.png" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="logo.png, avr. 2016" />
Construire un Centre de Ressources et de Formations est un objectif, mais penser à sa gestion par un autofinancement est un deuxième objectif qu'ASSODEC a décidé de mettre en oeuvre.
Le choix de l'installation d'une ferme d'élevage d'Aulacodes (Thryonomis-swinderianus) a été retenu.
Le présent projet vise également, à former des enseignants afin d'enrichir les systèmes de production dans les écoles primaires, là où cela est possible.
La viande d'Aulacodes sera un apport en protéines animales dans les cantines scolaires.Sa valeur nutritive contribuera à améliorer l'alimentation des enfants.
En outre, cet élevage participe à l'apprentissage et à la formation des enfants et à l'éducation environnementale en milieu scolaire.
Cette démarche vise à faire de l'enfant un acteur avisé de demain par la culture de l'esprit d'entreprise et de créativité.
Vulgariser l'élevage des Aulacodes, c'est contribuer à réduire le braconnage dans les zones de conservation de la faune au Burkina Faso.
Pour mettre en oeuvre ce nouveau projet, ASSODEC est en relation étroite avec AFRIFAUNE (Groupe International d'Appui à la Gestion de la Faune Africaine)
Ce projet donnera aussi au CERFOR la possibilité de commercialiser la production.
Les revenus obtenus serviront à la gestion du Centre.
A l'initiative de notre partenaire CLV Rhône Alpes*, Annick MARTIN directrice de l'association, a élaboré un chantier de Solidarité Internationale- Environnement- Développement Durable, pour participer à la construction du premier bâtiment de la ferme d'élevage dans le CERFOR.
Du 4 avril au 19 avril 2009, 16 jeunes (10 filles et 6 garçons) et 3 animateurs, prendront le chemin du Burkina Faso, pour vivre un véritable échange avec les jeunes burkinabé en partageant leur vie quotidienne.
Cet échange permettra une prise de conscience, de la part des jeunes, de la réalité du pays mais surtout de leurs capacités à agir et à réagir.</p>
<p>(*Association "Culture Loisirs Vacances")</p>Un après-midi au CERFORurn:md5:8837b4e69dc439825d0b4ee5c4ce259f2008-12-16T18:25:00+00:002016-04-27T08:14:56+01:00Michel MendiboureCERFORAbdoulaye KaboréASSODECCERFOROuagadougouValérie Grandclément<p>Je profite de mon séjour pour aller voir le CERFOR ...</p> <p><img src="http://www.adeb-asso.fr/public/logo.png" alt="logo.png" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="logo.png, avr. 2016" />
J’ai rencontré pendant mon séjour en octobre au Burkina Faso, Abdoulaye Kaboré. Il m’emmène voir le CERFOR. C’est bien agréable de quitter les mobylettes, la poussière, le bruit de Ouaga, bref l’agitation de la capitale. Après vingt minutes de voiture nous voilà dans le calme de la brousse. Il est près de 16 heures, la chaleur devient agréable. Après les derniers mètres sur un chemin de latérite, au milieu des champs, j’aperçois les bâtiments.</p>
<p>Nous retrouvons Tiassay Ziba, sa femme et quelques villageois. La visite peut commencer.</p>
<p>Les bâtiments d’abord. Les murs de trois classes sont montés et les fondations de trois autres sont quasiment terminées. A l’intérieur d’une salle la (bonne) récolte faite sur le site, de niébés (haricots) et d’arachides. L’agriculture pratiquée au CERFOR n’est faite qu’à titre d’exemple pour montrer qu’une autre culture est possible. Les paysans sont naturellement amenés à comparer les rendements des champs qui se côtoient.</p>
<p>Les graines de niébés et d’arachides sont destinées à la nourriture des villageois. Les feuilles vont servir de fourrage pour les bêtes.</p>
<p>Sur le terrain il reste des arachides déterrées mais pas encore ramassées. Quelques bottes de fourrage sont à côté du moule qui a servi à leur fabrication. Ce moule est un trou rectangulaire dans le sol.</p>
<p>Les enfants ont été formés sur le site du CERFOR à la fabrication des bottes. Les villageois confirment que les enfants ont ensuite fait leurs propres bottes de fourrage avec la récolte de leurs propres champs. Elles seront données aux bêtes pendant la saison sèche. Cela évitera aux animaux d’errer à la recherche d’herbes devenant de plus en plus rares à mesure que la saison avance.</p>
<p>Nous passons ensuite devant la pompe qui donne des soucis. En effet il faut pomper très longtemps et avec beaucoup d’énergie pour que l’eau coule. Un technicien est venu plusieurs fois mais il n’est pas parvenu à régler le problème.</p>
<p>Nous finissons par la visite de la future haie vive qui va entourer tout le terrain du CERFOR. Elle est constituée de jartrofa, une plante résistante.</p>
<p>C’est au maquis (café) du village devant une sucrerie (fanta, coca …) qu’Abdoulaye m’expose les projets d’ASSODEC pour les prochains mois :
- finir les trois premières salles
- monter les murs des trois autres
- réparer correctement la pompe
- consolider le projet d’élevage (finir la vaccination et le déparasitage,
construire des abris )</p>
<p>Puis nous retournons à Ouagadougou avant la nuit, il est 18 heures.</p>
<p>Pour en savoir plus sur ce projet d’élevage je vous invite à lire ou relire l’excellent article de Tiassay Ziba « éduquer pour le développement ».</p>
<p>Valérie Grandclément</p>EDUQUER POUR LE DEVELOPPEMENTurn:md5:fdf110172858f1bfc7e5335471483eda2008-09-13T00:00:00+01:002016-04-27T08:15:08+01:00Michel MendiboureCERFOR<p>L'ASSODEC mène, dans le département de Tanghin Dassouri, à titre expérimental et en attendant la réalisation des locaux du CERFOR, des actions d'éducation..</p> <p><img src="http://www.adeb-asso.fr/public/logo.png" alt="logo.png" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="logo.png, avr. 2016" />
Ces actions menées dans les villages de Koumlèla et de Kouzoughin, sont fondées sur le principe d’amener les jeunes et les adultes de ces villages à acquérir des connaissances utiles et utilisables dans les domaines de la production agropastorale et de l’environnement.</p>
<p>A cet effet, une initiation à l’élevage intensif de moutons, de chèvres, de poules a été dans un premier temps mis en œuvre .Notons que dans les villages ci-dessus indiqués, comme d’ailleurs dans presque toutes les localités du sahel, l’élevage reste extensif (les animaux ne bénéficient pas de soins particuliers).</p>
<p>Cela explique le fort taux de déperdition du bétail causé par les parasitoses (intestinales surtout), la mauvaise alimentation et le manque d’habitat adéquat. Il est donc important de transformer les modes de production pastorale en amenant les jeunes, mais aussi les adultes à changer de comportement malgré les difficultés qui les confinent à des habitudes qui les maintiennent inexorablement dans la pauvreté.</p>
<p>L’action, essentiellement pédagogique de l’ASSODEC a consisté à organiser de multiples séances de causeries et de démonstrations avec le soutien technique du responsable départemental de l’élevage.Il s’agissait surtout de faire prendre conscience du faible rendement de l’élevage extensif et de présenter des solutions pratiques qui peuvent être mises en œuvre dans les deux villages.</p>
<p>C’est aussi une opportunité d’apprentissage de la solidarité agissante entre les enfants (les bénéficiaires des animaux se sont engagés à donner les petits de ces animaux à leurs frères).</p>
<p>En vue de permettre aux enfants de mettre en pratique ce qu’ils ont appris, cent cinquante trois (153) d’entre eux (élèves et enfants non scolarisés) ont reçu des animaux. Leurs parents, ayant été associés à partir de la phase décisive de l’opération, ont décidé de s’investir dans le déparasitage et la vaccination des animaux.</p>
<p>En ce qui concerne l’alimentation des bêtes il a été convenu avec les parents et les enfants de la production de plantes fourragères.</p>
<p>L’arachide et le niébé ont été retenus comme espèces à cultiver en raison de l’avantage que présentent ces plantes. En effet, l’arachide et le niébé produisent des graines largement consommées dans le milieu familial et leurs feuilles sont prisées par le bétail.
La production agricole est supervisée par un agent du service départemental de l’agriculture qui a procédé aux démonstrations techniques nécessaires pour expliquer aux enfants et aux parents (de même qu’à deux groupes de jeunes citadins) français et burkinabè, comment il est possible de réussir la production agricole dans un contexte où les sols et le climat sont plutôt défavorables.</p>
<p>Ces jeunes se sont investis dans les activités agraires (semence, sarclage).Au stade actuel, chaque enfant concerné par l’élevage dispose d’un champ d’arachide et les mères éducatrices se sont constituées en groupement de culture pour entretenir un champ d’arachide d’un hectare à leur propre compte sur le terrain du CERFOR.</p>
<p>Pour soutenir l’effort de la population, donner l’exemple par la valorisation des activités agricoles (car l’école actuelle donne une image négative du travail manuel productif) l’ASSODEC a réalisé un champ de plus de six hectares d’arachide et de niébé.
Tous les champs présentent aujourd’hui beaucoup d’espoir pour la population, qui souhaite vivement que la pluie tombe régulièrement jusqu’au mois d’octobre…. !</p>
<p>En plus de la production agropastorale, l’ASSODEC a introduit, au bénéfice des enfants et de la population des actions d’éducation environnementale.</p>
<p>Avec le responsable départementale de l’environnement, une stratégie d’éducation environnementale a été dégagée .Elle se fonde sur une responsabilisation de chaque enfant et de ses parents pour la plantation, mais surtout l’entretien d’arbres fruitiers.
Une cérémonie solennelle de remise de manguiers à chaque enfant a été organisée le 29 août 2008 en présence des responsables du Ministère de l’Enseignement de Base et de l’Alphabétisation.</p>
<p>En lieu et place d’un reboisement qui vise la quantité d’arbres plantés l’ASSODEC a retenu une démarche qui vise à amener chaque enfant et sa famille à réussir au moins l’entretien d’un arbre ; cela, pour prendre en compte le manque d’eau dès le mois de janvier et la divagation des animaux.</p>
<p>Au total 153 pieds de manguiers ont été remis aux enfants et 1500 pieds de Jatropha ont été plantés pour délimiter le domaine du CERFOR.</p>
<p>En définitive les actions d’éducation au développement initiées par l’ASSODEC se fondent sur une adhésion réelle des populations avec l’objectif de faire en sorte que les enfants et leurs parents s’engagent ensemble pour les changements de comportement.</p>
<p>La famille et l‘école poursuivent de ce fait le même objectif d’apprendre aux enfants des connaissances pratiques qui leurs sont immédiatement nécessaires pour faire face aux défis actuels de la production agropastorale.</p>
<p>Signalons que le soutien de l’ADEB et de la Ligue de l’Enseignement a été déterminant dans la réalisation de ces activités qui ont été, notons le, appuyées par les autorités du Ministère de l’enseignement de Base et du département de Tanghin Dassouri. Les techniciens de l’agriculture, de l’élevage, de l’environnement du département ont été en outre aussi constamment présents aux côtés de l’ASSODEC.</p>
<p>Le Coordonnateur, tous les militants de l’ASSODEC témoignent à tous leur reconnaissance et souhaitent que le partenariat ainsi engagé trace la voie effective du développement socioéconomique des populations du Burkina Faso par l’exemplarité des innovations mises en œuvre au sein du CERFOR.</p>
<p>ZIBA Tiassay - ASSODEC</p>